Corruption et trafic d'influence : Amor Safraoui tire la sonnette d'alarme

Amor Safraoui, président de la coordination nationale indépendante de la Justice Transitionnelle, a déclaré vendredi que le trafic d'influence prévaut encore au sein du système judiciaire tunisien, 3 ans depuis la révolution.

C'est surtout les crimes et les dépassements qui ont suivi la révolution et qui obnt eu lieu après les élections d'octobre 2011 qui sont principalement concernés par le trafic d'influence, a avancé Safraoui.
Au cours d'un séminaire organisé conjointement avec la Ligue tunisienne des droits de l'homme et l'Ordre national des avocats, Safraoui a insisté sur nécessaire de rompre avec les pratiques du système corrompu de l'ancien régime et sur le contrôle de l'application de la loi garantissant l'impartialité de la justice afin de parvenir à surmonter cette phase de transition démocratique.