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Internationale10/11/2016 à 10:47

Les autres facettes de Trump

Les autres facettes de Trump

Beaucoup de gens se rappellent des déclarations sexistes, racistes… du nouveau président américain, mais cela n’empêche qu’il y a d’autres positions qui sont siennes mais qui sont bien moins connues, et qui lui avaient valu vives critiques.

Ces positions auraient pu expliquer en partie, qu’il soit le 45ème président des USA.
Trump avait des positions extrêmes concernant les médias de son pays, qu’il jugeait "malhonnêtes".
Il répétait souvent ne pas être en compétition avec la candidate démocrate, mais avec les médias "corrompus".
Sur son Twitter, il avait publié : "Si les grands médias, répugnants et corrompus, couvraient de manière honnête ma campagne, sans fausses interprétations, je dépasserais Hillary de 20 %."
Lors de sa compagne il avait interdit l’accès à plusieurs prestigieux médias comme le Washington Post ou BuzzFeed, meme la Fox News avait subi ses fureurs bien que cette chaine est sensée être de droite et qu’elle était sensée le soutenir.
Selon Trump qu’avec le grand taux d’endettement américain, son pays ne peut plus jouer au "gendarme du monde", les exemples Romain, Espagnol et autres affirmant qu’un pays ou empire qui joue ce rôle courre à sa perte et qu’il ne tient pas plus d’un siècle.
Trump voit que les USA ne peuvent plus continuer avec sa politique étrangère interventionniste.
"Il n y aura plus de garantie d’une protection automatique des USA envers les pays membres de l’OTAN" selon ses déclaration, ce qui favoriserait les relations avec Russie ainsi qu’avec la Chine.
Pour le nouveau président élu, la globalisation économique détruit les classes moyennes et il s’y oppose fermement, selon lui 60 mille usines ont du fermer leurs portes ces 15 dernières années, laissant approximativement 5 millions de personnes sans emploi, faute à la délocalisation.
"Les gens de Wall Street ne peuvent plus faire ce qu’ils veulent" selon Trump.
Le nouveau président avait confirmé vouloir imposer plus d’impôts aux traders des fonds spéculatifs qui selon lui gagnent des fortunes sur le dos de tout le monde.
Il avait promis de rétablir la loi Glass-Steagall : qui supprimait les conflits d’intérêt entre les sociétés de bourses et les sociétés qu’elles côtent surtout que ces sociétés contrôlent aussi les créanciers (banques). Autrement dit, les vendeurs ne peuvent plus évoluer et les créanciers ne peuvent plus conseiller.
Cette loi sépare les banques de dépôts des banques d’investissements, impose un système fédéral d’assurance des dépôts bancaires et plafonnent les taux d’intérêt relatifs aux dépôts bancaires.
Trump est pour des mesures économiques protectionnistes, voulant imposer les produits étrangers importés, souhaitant faire sortir son pays des accords de libre échange nord-américain (ALENA), contre le traité Trans-Pasifique.
"Le TPP constituerait un coup mortel pour l’industrie manufacturière des Etats Unis", selon ses dires.
Encore plus épatant venant de la part d’un candidat à la présidence des USA, Trump avait déclaré : "Nous allons renégocier ou sortir de l’OMC. Ces accords commerciaux sont un désastre".
Pour finir, le président américain, pendant la compagne électorale était tout à fait contre les réductions budgétaires touchant la sécurité sociale.
Il avait promis de ne pas toucher aux acquis sociaux du plan Obama Care, il a aussi promis de baisser les prix des médicaments, de trouver des solutions aux sans domicile fixe, d’alléger les impôts des petits contribuables et de suspendre un impôt fédéral qui toucherait près de 73 millions de familles modestes, selon mémoire des luttes.

Economique Jawhara FM

jmc
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