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Chronique
Chronique 10/05/2021 à 09:36
Hichem Ben Ammar, l’être à l’art et l’être à la vie
Par Mansour M’henni
Ignorance de ma part, je ne savais pas que Hichem Ben Ammar était poète ! Je connaissais de loin le réalisateur spécialiste convaincu et engagé des documentaires. Nous l’avions invité à Sayada dans le cadre de la première édition (demeurée orpheline jusqu’à aujourd’hui) des Journées Audiovisuelles Tahar Chériaa à Sayada, manifestation initiée, du 5 au 9 janvier 2011, pour la commémoration du 40ème jour du décès de l’éminente figure du cinéma tunisien, arabe et africain, dans sa ville natale.

Chronique 03/05/2021 à 10:38
Les trois mots clés du mois de mai
Par Mansour M’henni
Le mois de mai nous vient avec un préavis de faveur annonçant trois valeurs comme autant de clés du bonheur. Ces trois valeurs sont le muguet, le travail et la liberté.

Chronique 29/04/2021 à 11:35
De la solidarité pour l’humanisme de citoyenneté
Par Mansour M’henni
Il y a quelques jours, devant toutes les urgences auxquelles il doit faire face et face aux nombreuses difficultés qu’il rencontre, le gouvernement a appelé, encore une fois, à la création d’un « Fonds de Solidarité Nationale » à même de servir d’un adjuvant à une démarche politique conciliant la relance économique et la prise en compte des problèmes sociaux.

Chronique 24/04/2021 à 12:20
De l’avenir du livre
Par Mansour M’henni
Ce vendredi 23 avril 2021, le monde a célébré, dans son confinement physique et psychique, la Journée Internationale du Livre. Les concernés ont vécu ce jour-là chacun à sa façon de voir et peut-être de repenser son rapport au livre. Pour les autres, le reste de la population, chez nous surtout, il y a tout lieu de croire que cette question est restée le dernier de leur souci. Mais il y a tout lieu de se demander aussi si cette majorité est à plaindre ou à blâmer.

Chronique 20/04/2021 à 13:42
Du mal des médias aujourd’hui
Par Mansour M’henni
Si la plupart des Tunisiens, de certains observateurs étrangers aussi, sont convaincus que la liberté de presse et d’expression est le principal acquis du séisme social ayant secoué le pays, puis une bonne partie de la planète, depuis 2011, la plupart d’entre eux aussi sont de plus en plus sceptiques quant aux vraies motivations, aux principales sources de commande et aux visées implicites de la stratégie ayant amené la nouvelle situation médiatique.

Chronique 12/04/2021 à 12:21
Hommage à Tahar Chériaa : entre la fidélité à l’amitié et le devoir de citoyenneté
Par Mansour M’henni
J’avoue me sentir suffisamment soulagé d’un poids de lourde responsabilité après ce qui a été fait, pour la dixième année après son décès, afin de rendre hommage à Tahar Chériaa, le cinéphile, cinéaste, critique et concepteur culturel, écrivain et traducteur aussi.

Chronique 31/03/2021 à 10:59
Le cri de détresse du journaliste camerounais Amadou Vamoulhé
Par Mansour Mhenni
Il m’a été donné, précédemment, d’attirer l’attention sur le cas du journaliste et responsable de médias camerounais Amadou Vamoulhé, particulièrement sur le sort terrible qu’il subit en prison pour des inculpations que l’on n’arrive ni à nommer ni à prouver.

Chronique 21/03/2021 à 10:46
La lumière de l’Indépendance et la force citoyenne contre les manigances
Par Mansour Mhenni
Le 20 mars 2021 aura fait couler beaucoup d’encre, surtout sur les pages des réseaux sociaux, c’est-à-dire dans ces espaces de liberté d’expression spontanée jusqu’au débordement, mais sincère jusqu’à la noblesse et la sagesse, en ces temps où la noblesse n’a rien d’une éthique et où la sagesse n’a de logis que la vieille Utique.

Chronique 19/03/2021 à 11:09
Assainissez nos institutions de la voyoucratie !
Par Mansour M’henni
Plus les jours passent plus le marasme nous envahit et cherche à nous réduire au désenchantement, à l’impuissance et à l’isolement. Ainsi nous veulent, semble-t-il, ceux qui nous gouvernent ! Ou peut-être alors, ainsi nous sommes-nous voulus, livrés aux manipulations, la conscience dans le vent, au gré des circonstances !

Chronique 09/03/2021 à 11:36
Ce 8 mars... fenêtre sur l’avenir
Par Mansour M’henni
Le 8 mars de cette année vient de s’inscrire dans le passé, comme toutes les journées, et soncaractère festif a pris le temps de sa durée comme toutes les fêtes ; mais l’importance d’unetelle journée réside dans ce qu’on peut tirer pour édifier l’avenir et engager le destin despersonnes et des sociétés.

Chronique 26/02/2021 à 10:00
Deux points marqués par la présidence de la République
Par Mansour M’henni
Tout semble se dérouler aujourd’hui sur un arrière-fond de bras de fer politique au sein de notre trinité présidentielle, apparemment allergique à toute idée d’unité, au moins depuis un remaniement ministériel bloqué au nom d’une fort discutable (anti-)constitutionalité.

Chronique 23/02/2021 à 09:57
Conscience de responsabilité et responsabilité d’obéissance
Par Mansour M’henni
Dans l’esprit et dans le sentiment de la plupart des Tunisiens, ceux au moins qu’on voit et entend s’exprimer en public ou en privé, il y a un état de déception allant jusqu’à l’abattement et au désespoir quant à la situation générale du pays et à son cheminement politique en cours.
Chronique 09/02/2021 à 15:51
Adieu mon prof ! Que votre esprit demeure !
En ces temps sombres qui nous font douter des valeurs éternelles d’une humanitédigne de ce nom, certains souvenirs surviennent de temps en temps, au gré descirconstances, comme des plaques de signalisation venant se dresser devantnous pour inspirer, et orienter même, notre croisière infernale des temps présents.

Chronique 03/02/2021 à 14:54
Boughalleb ne rate rien
Par Mansour M’henni
J’ai rarement l’occasion de personnaliser de près mes chroniques, mais aujourd’hui, je tiens à le faire pour rendre hommage à Mohammed Boughalleb, qui a fait le tour des principaux médias du pays et qui semble se plaire dans la matinale de Shems FM où ses chroniques méritent de figurer dans une anthologie des discours-clés afin d’édifier l’avenir de notre société.

Chronique 30/01/2021 à 10:55
Dans ce destin de folie, à quel diable nous vouer ?
Par Mansour M’henni
Dans un désir d’avoir une meilleure intelligence de la situation de mon pays, je me suis hasardé à en interroger un ami tenant mal entre deux âges et bien debout en pleine rue, aussi revendicatif que je me souviens avoir été dans le torrent de mes vingt ans entre les années 60 et 70 du siècle dernier. D’un seul trait, il m’a débité ce développement dont je traduis la substance, à tout bon entendeur :




