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Chronique

Le cri de détresse du journaliste camerounais Amadou Vamoulhé

Chronique 31/03/2021 à 10:59

Le cri de détresse du journaliste camerounais Amadou Vamoulhé

Par Mansour Mhenni


Il m’a été donné, précédemment, d’attirer l’attention sur le cas du journaliste et responsable de médias camerounais Amadou Vamoulhé, particulièrement sur le sort terrible qu’il subit en prison pour des inculpations que l’on n’arrive ni à nommer ni à prouver. 

La lumière de l’Indépendance et la force citoyenne contre les manigances

Chronique 21/03/2021 à 10:46

La lumière de l’Indépendance et la force citoyenne contre les manigances

Par Mansour Mhenni


Le 20 mars 2021 aura fait couler beaucoup d’encre, surtout sur les pages des réseaux sociaux, c’est-à-dire dans ces espaces de liberté d’expression spontanée jusqu’au débordement, mais sincère jusqu’à la noblesse et la sagesse, en ces temps où la noblesse n’a rien d’une éthique et où la sagesse n’a de logis que la vieille Utique.

Assainissez nos institutions de la voyoucratie !

Chronique 19/03/2021 à 11:09

Assainissez nos institutions de la voyoucratie !

Par Mansour M’henni

Plus les jours passent plus le marasme nous envahit et cherche à nous réduire au désenchantement, à l’impuissance et à l’isolement. Ainsi nous veulent, semble-t-il, ceux qui nous gouvernent ! Ou peut-être alors, ainsi nous sommes-nous voulus, livrés aux manipulations, la conscience dans le vent, au gré des circonstances !

Ce 8 mars... fenêtre sur l’avenir

Chronique 09/03/2021 à 11:36

Ce 8 mars... fenêtre sur l’avenir

Par Mansour M’henni

Le 8 mars de cette année vient de s’inscrire dans le passé, comme toutes les journées, et soncaractère festif a pris le temps de sa durée comme toutes les fêtes ; mais l’importance d’unetelle journée réside dans ce qu’on peut tirer pour édifier l’avenir et engager le destin despersonnes et des sociétés.

Deux points marqués par la présidence de la République

Chronique 26/02/2021 à 10:00

Deux points marqués par la présidence de la République

Par Mansour M’henni 


Tout semble se dérouler aujourd’hui sur un arrière-fond de bras de fer politique au sein de notre trinité présidentielle, apparemment allergique à toute idée d’unité, au moins depuis un remaniement ministériel bloqué au nom d’une fort discutable (anti-)constitutionalité. 

Conscience de responsabilité et responsabilité d’obéissance

Chronique 23/02/2021 à 09:57

Conscience de responsabilité et responsabilité d’obéissance

Par Mansour M’henni

Dans l’esprit et dans le sentiment de la plupart des Tunisiens, ceux au moins qu’on voit et entend s’exprimer en public ou en privé, il y a un état de déception allant jusqu’à l’abattement et au désespoir quant à la situation générale du pays et à son cheminement politique en cours. 

Adieu mon prof ! Que votre esprit demeure !

Chronique 09/02/2021 à 15:51

Adieu mon prof ! Que votre esprit demeure !

En ces temps sombres qui nous font douter des valeurs éternelles d’une humanitédigne de ce nom, certains souvenirs surviennent de temps en temps, au gré descirconstances, comme des plaques de signalisation venant se dresser devantnous pour inspirer, et orienter même, notre croisière infernale des temps présents.

Boughalleb ne rate rien

Chronique 03/02/2021 à 14:54

Boughalleb ne rate rien

Par Mansour M’henni 




J’ai rarement l’occasion de personnaliser de près mes chroniques, mais aujourd’hui, je tiens à le faire pour rendre hommage à Mohammed Boughalleb, qui a fait le tour des principaux médias du pays et qui semble se plaire dans la matinale de Shems FM où ses chroniques méritent de figurer dans une anthologie des discours-clés afin d’édifier l’avenir de notre société.

Dans ce destin de folie, à quel diable nous vouer ?

Chronique 30/01/2021 à 10:55

Dans ce destin de folie, à quel diable nous vouer ?

Par Mansour M’henni

Dans un désir d’avoir une meilleure intelligence de la situation de mon pays, je me suis hasardé à en interroger un ami tenant mal entre deux âges et bien debout en pleine rue, aussi revendicatif que je me souviens avoir été dans le torrent de mes vingt ans entre les années 60 et 70 du siècle dernier. D’un seul trait, il m’a débité ce développement dont je traduis la substance, à tout bon entendeur :

« L’effet divers des faits divers », rappel utile

Chronique 21/01/2021 à 09:48

« L’effet divers des faits divers », rappel utile

Par Mansour M’henni

Le 26 novembre 2013, je publiais ici même (jawharafm.net) une chronique sous le titre « L’Effet divers du fait divers ». Je la commençais ainsi : « L’Effet divers du fait divers. Voilà bien une citation de Claude Roy qu’il convient de toujours se remémorer en situations variables, pour raisonner des effets et des causes de certains faits de société ! » J’avais changé intentionnellement le pluriel de la citation source (« L’effet divers des faits divers ») par un singulier, à la recherche d’un certain effet insinué dont je ne sais s’il était relevé. Aujourd’hui, j’y reviens et je récupère mon pluriel, sous l’effet d’un nouveau contexte.



Le contexte actuel, on l’a sans doute deviné, c’est tout ce qui se passe dans mon pays et qui me semble relever d’une déroute caractérisée. Une violence presque généralisée est d’abord classée dans le fait divers, puis dénoncée autour de la théorie du complot. Finalement, nous voici avec une opposition qui présage d’une seconde révolution et d’un gouvernement qui parle à la façon d’un « je vous ai compris, mais… ». J’ai bien peur que, dans tout cela, l’essentiel reste de l’ordre des faits divers sans effets autres que des paroles de circonstance ou qu’il ne soit qu’une autre façon de monter le spectacle d’une bataille à mort pour le pouvoir !


N’empêche que dans la dernière allocution télévisée du président du Gouvernement, le 19 janvier 2021, un mot a retenu mon attention : l’écoute. Noble mot qui est toujours énoncé comme le prélude d’un salut programmé ! Mais voyons, en pratique, sommes-nous vraiment dotés, tous autant que nous sommes, d’une vraie compétence d’écoute ? Permettez-moi d’en douter car notre inscription dans la logique de l’écoute inscrit celle-ci dans la logique du dialogue polémique, devenu un artifice littéraire, plutôt que dans celle de la conversation où tous les participants ont le même statut et le même droit à l’intelligence collective et à l’information du destin, au sens philosophique du terme.


Curieusement, le contexte national actuel en a croisé un autre, celui de la première puissance mondiale, les USA, investissant le 20 janvier son nouveau président. J’ai failli me laisser séduire par le nombre de fois que l’écoute a été dite ou signifiée dans son discours ; j’étais tenté d’y voir l’amorce d’une pacification de notre monde et son salut. Mais voilà que très vite un refrain opiniâtre a jailli dans le discours du nouveau président : « Nous sommes les plus forts, nous avons toujours gagné ». 


De fait donc, quand un politique parle d’écoute, il entend cela comme une opportunité à même de le sortir d’une situation de crise. Alors que l’écoute est en principe un préalable à toute démarche initiatique d’un programme d’action et d’un projet de société. Mais ne diabolisons pas uniquement nos politiques parce que, à y voir de près, nous finirions par nous découvrir tous politiques. En effet, qui d’entre nous a assez d’hospitalité en soi aux idées et aux opinions d’autrui pour accepter de se remettre en question et de tout reprendre à zéro, avec autrui, sans concurrence obstinée et sans une incurable volonté de puissance ? Pour se faire, une intelligence supérieure devrait nous commander, nous faire être dans la relativité qui nous caractérise foncièrement. Dès lors, c’est la citation de Claude Roy, ou plutôt tout son poème qui serait notre ligne de conduite et l’amer éclairant notre chemin de vie.


Voici donc ce poème, de Claude Roy, que chacun devrait porter comme le bâton de Moïse dans cette nouvelle bergerie que semble devenir notre monde « moderne » :

Pour une nouvelle intelligence de la révolution

Chronique 14/01/2021 à 09:53

Pour une nouvelle intelligence de la révolution

Par Mansour M’henni

En ce 14 janvier de 2021, ce dixième anniversaire d’un événement important de l’Histoire de la Tunisie, il m’importe, comme d’autres concitoyens toujours de moins en moins nombreux peut-être, de réinterroger et de repenser la valeur symbolique de ce jour fatidique pour essayer d’en saisir le sens et d’en apprécier l’ampleur.

Démocratie, dites-vous ?!

Chronique 07/01/2021 à 16:06

Démocratie, dites-vous ?!

 Par Mansour M’henni

Voilà un autre de ces moments forts de la crise de la démocratie représentative, toute fondée sur la politique politicienne et sur la manipulation rhétorique.

Année qui vient, que nous apporteras-tu ?

Chronique 29/12/2020 à 10:09

Année qui vient, que nous apporteras-tu ?

Par Mansour M’henni


Je ne sais pas pourquoi, à la fin de chaque année qui part et dans l’attente d’une année qui vient, me reviennent avec insistance deux citations poétiques, l’une d’Al-Moutanabbi et l’autre de Lamartine, l’une sous forme de constat et l’autre d’interrogation !

Allégresse de la proximité et Culture de la maghrébinité

Chronique 26/12/2020 à 09:49

Allégresse de la proximité et Culture de la maghrébinité

Par Mansour M’henni

« Allégresse de la proximité », tel est le titre choisi par son Excellence l’Ambassadeur du Maroc en Tunisie pour un livre issu de son initiative et coordonné par lui-même. 

Tahar Chériaa malgré tout !

Chronique 18/12/2020 à 09:54

Tahar Chériaa malgré tout !

Par Mansour M’henni

Comme promis et malgré les conditions difficiles et des défaillances de certains appuis financiers promis (et normalement dus, quand il s’agit de subventions publiques aux actions associatives), le colloque « Littérature tunisienne et francophonie : l’être soi et l’être avec », organisé en hommage à Tahar Chériaa pour la dixième année de son décès, a bien eu lieu avec une réussite certaine, à tous points de vue.

Economique Jawhara FM

jmc
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