
Accueil >Chronique
Chronique
Chronique 21/01/2021 à 09:48
« L’effet divers des faits divers », rappel utile
Par Mansour M’henni
Le 26 novembre 2013, je publiais ici même (jawharafm.net) une chronique sous le titre « L’Effet divers du fait divers ». Je la commençais ainsi : « L’Effet divers du fait divers. Voilà bien une citation de Claude Roy qu’il convient de toujours se remémorer en situations variables, pour raisonner des effets et des causes de certains faits de société ! » J’avais changé intentionnellement le pluriel de la citation source (« L’effet divers des faits divers ») par un singulier, à la recherche d’un certain effet insinué dont je ne sais s’il était relevé. Aujourd’hui, j’y reviens et je récupère mon pluriel, sous l’effet d’un nouveau contexte.

Chronique 14/01/2021 à 09:53
Pour une nouvelle intelligence de la révolution
Par Mansour M’henni
En ce 14 janvier de 2021, ce dixième anniversaire d’un événement important de l’Histoire de la Tunisie, il m’importe, comme d’autres concitoyens toujours de moins en moins nombreux peut-être, de réinterroger et de repenser la valeur symbolique de ce jour fatidique pour essayer d’en saisir le sens et d’en apprécier l’ampleur.

Chronique 07/01/2021 à 16:06
Démocratie, dites-vous ?!
Par Mansour M’henni
Voilà un autre de ces moments forts de la crise de la démocratie représentative, toute fondée sur la politique politicienne et sur la manipulation rhétorique.

Chronique 29/12/2020 à 10:09
Année qui vient, que nous apporteras-tu ?
Par Mansour M’henni
Je ne sais pas pourquoi, à la fin de chaque année qui part et dans l’attente d’une année qui vient, me reviennent avec insistance deux citations poétiques, l’une d’Al-Moutanabbi et l’autre de Lamartine, l’une sous forme de constat et l’autre d’interrogation !

Chronique 26/12/2020 à 09:49
Allégresse de la proximité et Culture de la maghrébinité
Par Mansour M’henni
« Allégresse de la proximité », tel est le titre choisi par son Excellence l’Ambassadeur du Maroc en Tunisie pour un livre issu de son initiative et coordonné par lui-même.
Chronique 18/12/2020 à 09:54
Tahar Chériaa malgré tout !
Par Mansour M’henni
Comme promis et malgré les conditions difficiles et des défaillances de certains appuis financiers promis (et normalement dus, quand il s’agit de subventions publiques aux actions associatives), le colloque « Littérature tunisienne et francophonie : l’être soi et l’être avec », organisé en hommage à Tahar Chériaa pour la dixième année de son décès, a bien eu lieu avec une réussite certaine, à tous points de vue.

Chronique 03/12/2020 à 11:35
Hommes d’État ou hommes politiques
Par Mansour M’henni
A la Une d’hier, le Nouvelobs.com (https://www.nouvelobs.com/) publie, mis à jour ce 3 décembre 2020, « un long entretien accordé » au site par « Eric Roussel, auteur d’une biographie sur VGE » (entendez Valéry Giscard d’Estaing), à l’occasion du décès, par la covid 19, de l’ancien président de la République Française à l’âge de 94 ans.

Chronique 24/11/2020 à 10:36
L’Union des écrivains tunisiens et l’effet divers d’une première rencontre en ligne
Par Mansour M’henni

Chronique 23/11/2020 à 09:59
Pharmacies non habilitées à écouler les vaccins
Par mansour M’henni
Le propre d’une chronique, c’est que, d’un instant à l’autre, elle peut virer d’un sujet à l’autre. Tel est le cas de celle-ci qui se préparait à aborder un sujet culturel et qui a subitement basculé du côté social, à supposer que les questions sociales ne sont pas foncièrement culturelles, ce que je ne saurais concéder.

Chronique 17/11/2020 à 13:01
La Mémoire d’un philosophe pour le devenir de la philosophie
Par Mansour M’henni
La parution récente du livre de Fathi Triki, La Mémoire et le devenir. Etapes de mon autobiographie (Tunis, Mediterranean Publisher, 2020), a suscité en moi une série d’impressions et de réflexions que j’ai senti le besoin d’exprimer, et qui seront peut-être partagées par des lecteurs intéressés.

Chronique 04/11/2020 à 09:58
Tahar Chériaa dix ans après
Par Mansour M’henni
Ce mercredi 4 novembre 2020 devrait être commémorée la clôture de la dixième année du décès de Tahar Chériaa, le fondateur des Journées cinématographiques de Carthage et le « père du cinéma arabe et africain » comme se plaisent à le baptiser de nombreux spécialistes dans le monde.

Chronique 30/10/2020 à 09:30
A l’écoute des fléaux
Par Mansour M’henni
« C’est écrit dans le ciel », diraient les fatalistes. Il fallait que la covid 19 envahisse le monde et nous pourrisse l’existence. Il fallait aussi que des musulmans se mettent à tuer des gens le plus atrocement du monde, sous prétexte de défendre l’image du Prophète. Même le jour du Mouled !

Chronique 22/10/2020 à 10:00
L’équation difficile du secteur de l’information
Par Mansour M’henni
L’attention critique et même contestataire est focalisée ces derniers jours sur un débat houleux au sein de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et projetant ses éclats tant dans les secteurs concernés qu’auprès du commun des citoyens, même si pour ces derniers la passion est largement atténuée par des dépits et des désenchantements de toutes natures et de toutes parts.

Chronique 16/10/2020 à 09:12
Bizerte, notre mémoire et notre conscience
Par Mansour M’henni
J’avoue ne pas être surpris par les propos de quelques commentateurs et chroniqueurs qui, dans le prolongement de l’attitude de certains responsables et activistes politiques, et peut-être de connivence avec eux, n’arrêtent pas de traiter Bourguiba de tous les noms et de l’accuser de tous les crimes, à chaque commémoration des dates symboliques de l’histoire de notre pays et de sa lutte pour la libération nationale et l’édification de son Etat moderne.

Chronique 06/10/2020 à 10:15
Pensements pour la Journée des enseignants
Par Mansour M’henni
Le 5 octobre de chaque année, depuis 1994, est commémorée « la signature de la recommandation concernant la condition du personnel enseignant », à l’initiative de l’UNESCO et de l’Internationale de l’éducation. Louable est cette décision quand on sait le rôle que jouent les enseignants, tous niveaux confondus, dans l’édification d’un modèle de société et dans la sculpture de la conscience citoyenne. Plus d’un quart de siècle après cette décision, il serait bon d’en évaluer l’impact et peut-être d’en réviser le fonctionnement.




